febrero 28, 2017

Sabeena Karnik, typographies en papier / paper typography



Antoine Oury: «Les typographies en papier de Sabeena Karnik»
ActuaLitté (@ActuaLitte)





«Sabeena Karnik, basée à Bombay, en Inde, fait de l'or avec ses doigts : avec du papier peint, elle réalise des typographies ou des lettrines colorées et en relief. Spécialiste de l'illustration 3D, elle n'en a pas pour autant abandonné le papier et “ses possibilités infinies”.

»Sans surprise, Sabeena Karnik est fascinée depuis l'enfance par la typographie, les lettres et la calligraphie. Diplômée en design graphique avec une mention en typographie, elle s'est spécialisée, peu à peu, dans la fabrication de lettrines ou de messages calligraphiés avec du papier de couleurs, suffisamment épais pour pouvoir être modelé. Le résultat est tout simplement magnifique.

»Son travail, avec Internet, a rapidement été connu à l'international : elle a travaillé pour des agences de publicité en Europe, en Amérique du Sud, aux États-Unis, au Moyen-Orient et en Afrique du Sud.

»Patience et minutie sont ses meilleurs alliés dans son travail, étant donné que l'utilisation du papier n'autorise pratiquement aucune correction.

»Les œuvres de Sabeena Karnik sont visibles sur Behance.

»Via All Things Paper




Ann Martin: «Quilled Typography - Sabeena Karnik». Interview.
All Things Paper (@allthingspaper)





«You might recall the colorful Happy New Year on-edge paper typography I shared on the last day of 2012. It was quilled by Sabeena Karnik of Mumbai, India, who was originally featured here after her on-edge alphabet started flying around the interwebs. I thought it would be fun to take a look at more of Sabeena's lovely work, see how far she has come in just a year's time, and learn a bit about her.


»Have you always been interested in art?

»Yes, I knew I wanted to pursue art ever since childhood. I have always had a very keen interest in beautiful writing, calligraphy, be it the names of my family, friends, and even people I idolized.


»Did you study art in school?

»Pursuing an education in art was a very natural process. I completed my degree in graphic design with a focus on typography, my first love. In my final year project, I concentrated purely on paper and 3D paper sculpturing. Fortunately the result came out very well. I thought why not try and experiment a little more by combining the two, so as a fun way to pass the time one afternoon, I randomly started making alphabets out of paper.

»The typeface was very simple since the focus was on paper, patterns I could make, and colors. The result was an offshoot of paper quilling, although I don't concentrate on traditional pinched coil shapes.


»I remember that before your alphabet was even completed, it was already attracting attention!

»Yes, before I could finish the entire letter series, I started getting offers from advertising agencies to collaborate with them. And I have been very busy ever since, working with agencies in the U.S, Europe, the Middle East, South America, and South Africa.


»I'm sure you put a great deal of time into your designs.

»Since the outcome is very decorative and eye-catching, people don't realize the amount of work that goes into each piece. It requires a lot of patience and nurturing, just as you would take care of a baby. Moreover since it's paper, making corrections is extremely difficult.

»There was an instance when a design had been approved by a client, but had to be changed after everything was complete. It was heartbreaking to slice the entire paper art out and make the alterations. Everything we do is a learning process and paper has its limitations because it is very fragile.


»Do you still enjoy the process?

»Paper is one of the most wonderful mediums to work with. It attracts an audience of all ages universally and it never gets boring. Every strip and piece plays such an important role in creating a unique artwork.


»What are your plans for the future?

»I want to plunge into paper typography more and even create my own paper fonts. The world of paper is so vast and magical; no matter how much you explore, the possibilities are limitless!


»Thanks for the interview, Sabeena. It will be fun to see where your talent leads you next.

»Keep up with Sabeena via Behance and Facebook






Alexandre Roberge: «Des typographies idéales pour les dyslexiques»




Thot - Cursus (@thot)







«Lire une phrase est un acte simple. Nous l’apprenons dès la première année de scolarisation. Et pourtant, malgré toutes les bonnes volontés des professeurs, certains enfants auront toujours des difficultés.

»Sur la route des personnes atteintes de troubles “dys” se dressent constamment des embûches liées à un élément académique particulier. Par exemple, la dysorthographie concerne les difficultés importantes à acquérir les notions orthographiques, la dysphasie, les dysfonctionnements de l’évolution du langage ou des problèmes d’élocution, la dyspraxie qui contient les troubles de l’organisation et la réalisation de gestes, etc. Toutefois, de tous ces troubles, la dyslexie est la plus connue.

»Les professeurs adaptent naturellement leur enseignement à ces élèves. Le site belge Ordys offre d'ailleurs une charte de recommandations pour les dyslexiques allant de la vérification plus serrée de la compréhension à la limitation de travaux écrits. Toutefois une suggestion importante peut être facilement oubliée; elle n’est pourtant pas si difficile à mettre en place : la facilitation de la lecture de documents par les typographies.


»Adapter la mise en page

»En effet, la rédaction de documentation pédagogique est souvent faite en pensant que l’enfant comprendra automatiquement ce qui écrit. Or, pour les dyslexiques qui ont déjà de la difficulté à déchiffrer une phrase, il faut leur proposer des textes plus aérés (avec des interlignes), des tailles de caractère plus grandes, quitte à rapetisser au fur et à mesure des progrès et, surtout, une typographie appropriée.

»Comme le souligne cette coach qui travaille avec des enfants et adolescents “dys”, il est préférable d'éviter les typos avec des empattements. Par exemple, le Times New Roman et ses petites lignes sous la barre du “p” ou du “l” sont difficiles à comprendre pour un dyslexique. Même chose pour le Courier New et le Cambria, entre autres. Il vaut mieux aller vers des polices plus simples : l’Arial, le Verdana, le Tahoma, le Trebuchet MS et même l’infâme Comic Sans MS sont plus compréhensibles pour un dyslexique.


»Des typographies spécifiques

»Toutefois, certains ont réfléchi à la question et ont décidé de concevoir une typographie spécialement pour les personnes atteintes de troubles dys. Une des plus connues est la police Dyslexie, une typo créée par un graphiste néerlandais dyslexique Christian Boer. Celle-ci est de plus en plus utilisée en classe et dans des organismes voulant se faire comprendre par le plus grand nombre. Par contre, celle-ci est placée sous la loi du copyright et est donc payante.

»Certains ont alors produit une typographie gratuite pour tous, OpenDyslexic [@OpenDyslexic, created by @Antijingoist], qui peut s’installer facilement sur les ordinateurs et appareils mobiles. La police, qui est d’ailleurs utilisée sur toutes les pages du site, se veut facile à lire et accessible. D’autant plus qu’elle peut être utilisée sur navigateur Web, rendant la vie beaucoup plus simple pour les jeunes atteints de dyslexie.

»Dans le même ordre d’idées, une extension pour les traitements de texte LibreOffice, OooLight, et OpenOffice, entre autres, cherche à aider les dyslexiques et les personnes en apprentissage du français à mieux comprendre les sons et identifier les lettres.

»LireCouleur permet à ces individus de saisir ces concepts à l’aide de différentes couleurs et de pictogrammes que le professeur rajoutera sur un écrit. Il peut aussi surligner les lignes de texte pour aider dans la lecture et mettre en évidence les syllabes avec de petites cuvettes. La dernière version permet même de découper les semi-consonnes pour mieux expliquer la lecture et prononciation d’un mot.

»Enfin, ceux qui cherchent des compilations de logiciels libres orientés pour les “dys” pourront consulter notre suggestion de Framakey qui, bien qu’elle date de 2012, reste une trousse d’outils appréciables encore aujourd’hui.


[Illustration : OpenDyslexic sur Facebook]


»Références

»Auxilidys. Consulté le 1er décembre 2016. http://www.auxilidys.fr/.

»Duband, Valérie. "Police De Caractères Utile (aide à La Lecture)." Dysmoi. Dernière mise à jour : 30 novembre 2011. http://www.dysmoi.fr/troubles-dapprentissage/dyslexie-dysorthographie/police-de-caracteres-utile-aide-a-la-lecture/.

»LireCouleur. Consulté le 1er décembre 2016. http://lirecouleur.arkaline.fr/.

»OpenDyslexic. Consulté le 1er décembre 2016. http://opendyslexic.org/.

»"Quels Aménagements?" Ordys.be. Consulté le 1er décembre 2016. http://www.ordys.be/429209922.»





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If a proceedings has supplemental material accompanying it in the form of a videocassette, CD-ROM, DVD, or another medium, begin by citing the proceedings. Add the phrase "Accompanied by: " followed by the number and type of the medium.

Salyer KE. Craniofacial surgery. Proceedings of the 10th International Congress of the International Society of Craniofacial Surgery; 2003; Monterey, California. Bologna (Italy): Medimond International Proceedings; c2003. 506 p. Accompanied by: 1 CD-ROM.



Según:

Citing Medicine: The NLM Style Guide for Authors, Editors, and Publishers [Internet]. 2nd edition. Chapter 3: Conference Publications


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febrero 24, 2017

«Dirección de Bibliotecas, Archivos y Museos (DIBAM) de Chile estrena moderno sistema digital con 12 mil libros para todos»




El Dínamo @el_dinamo




«Se trata de títulos descargables, a los que se puede acceder ingresando el rut de la persona. Una vez hecho eso, el libro permanecerá en el computador por 21 días de manera gratuita. Luego de ese periodo el texto se borra y vuelve a su lugar de origen.

»La Biblioteca Pública Digital de la DIBAM dispuso en su sitio web alrededor de 12 mil libros descargables de manera gratuita. De esa forma, se pretende fomentar la lectura y llegar a zonas aisladas del país. “Nuestra misión es acortar el acceso a la lectura para todos los chilenos”, dijo a El Desconcierto Florencia García, directora de la iniciativa.

»Se trata de títulos a los que se puede acceder ingresando el rut de la persona. Una vez hecho eso, el libro permanecerá en el computador por 21 días de manera gratuita. Luego de ese periodo el texto se borra y vuelve a su lugar de origen.

»La idea se materializó en 2014, año en que partieron con 3.500 libros disponibles para los usuarios inscritos en la Biblioteca Pública. Pero ahora para ampliar el público, sólo se requiere de la cédula de identidad, sin importar si vive en el país o en el extranjero.

»“Nosotros hicimos un trabajo de difusión con el Ministerio de Relaciones Exteriores, esto explica de que exista un gran porcentaje de chilenos que solicitan y sacan libros. Hemos aceptado gente de otros países que nos han solicitado libros, pero en general se trata de ciudadanos chilenos que viven en países como EE.UU, España o Argentina”, explicó Salvador Young, encargado de contenido de la BPDigital.

»En total participan doscientas diez editoriales, de las cuales sesenta son chilenas. Se trata de un sistema seguro para ellas, ya que los libros poseen un código encriptado que resguarda los derechos de autor. Desde sus inicios hasta ahora, se han realizado un total de ciento treinta mil descargas.»







«La pragmática y sus orígenes lingüísticos a principios del siglo XX»



María Isabel López Martínez y Eulalia Hernández Sánchez
«La pragmática y sus orígenes lingüísticos a principios del siglo XX»

Revista de Investigación Lingüística, vol. 19, 2016

Revista de Investigación Lingüística | Universidad de Murcia | Facultad de Letras | Departamento de Lengua Española, Lingüística General y Traducción e Interpretación | Murcia | ESPAÑA


Extracto de páginas 68 a 70 de la publicación en PDF




«Pero, si bien, Saussure en Europa va a desechar como algo ajeno a la lingüística el estudio de los signos en el ámbito social, aunque anuncia la necesidad de que exista en un futuro una ciencia que tenga como objeto el estudio de cualquier signo, paralelamente en América Charles Peirce (1839-1914) iniciaría la semiótica con su concepción triádica del signo: signos como ‘símbolos’(interpretante), ‘iconos’(representamen) e ‘índices’(objeto) (1894, en línea). Esta concepción del signo propuesta por Peirce ha hecho que sea considerado como pionero en los estudios pragmáticos, especialmente con su concepto de signo como “indicaciones o índices”. Su pragmatismo se debe al hecho, como así demuestran sus palabras, de que tiene en cuenta el valor utilitario de los signos. Desde su pensamiento lógico deduce que el significado se encuentra en el pensamiento, no en forma pasiva, sino activamente; el significado será el conjunto de implicaturas prácticas que el objeto posee para el individuo. En este contexto, el conocer significa captar esas implicaturas y, así, poder llegar a su significado.

»Si contrastamos las teorías de Peirce y Saussure, salta a la vista que la diferencia entre ambas posturas radica en el tercer elemento, el objeto, que no está explícito en Saussure. Como ya hemos mencionado anteriormente, la teoría del maestro ginebrino gira en torno a una concepción binaria, basada en la antinomia significante/significado; ahora bien, al analizar minuciosamente su teoría observamos que el objeto al que se refiere el signo tiene que existir, pues en caso contrario el signo no existiría como tal porque no estaría representando nada. Por el contrario, Peirce nos dice que de los tres tipos de signos antes mencionados, el símbolo se corresponde con los signos lingüísticos de Saussure, porque para Peirce: “el símbolo es un signo cuyo carácter representativo consiste precisamente en que él es una regla que determina a su interpretante. Todas las palabras, oraciones, libros y otros signos convencionales son símbolos” (Peirce, 1974: 55).

»A la vista de lo expuesto, podemos extraer como consecuencia que la teoría de Saussure y la de Peirce no se encuentran tan alejadas como se ha venido manifestando. Lo que sucede es que mientras que Peirce trabaja sobre la idea del signo semiológico, Saussure se ocupa solamente del signo lingüístico.

»El pensamiento de Peirce incide directamente en el semiólogo Morris (1901-1979) ya que, como él, tiene una visión pragmática del signo pues no sólo lo estudia en relación con su significado y con las reglas que se utilizan en su relación, sino que tiene muy en cuenta el uso que se hace de él y cómo los hablantes lo utilizan en su interacción con otros hablantes.

»Antes de pasar a explicar el concepto que tiene Morris de signo, habría que aclarar qué entiende por ‘semiosis’. Morris denomina semiosis a cualquier proceso en el que algo se percibe como signo de algo en un momento y contexto determinado:

»El proceso en el que algo funciona como signo puede denominarse semiosis. Comúnmente, en una tradición que se remonta a los griegos, se ha considerado que este proceso implica tres (o cuatro) factores: lo que actúa como signo, aquello a que el signo alude, y el efecto que produce en determinado intérprete en virtud del cual la cosa en cuestión es un signo para él. Estos tres componentes de la semiosis pueden denominarse, respectivamente, el vehículo sígnico, el designatum, y el interpretante; el intérprete podría considerarse un cuarto factor. Estos términos explicitan los factores implícitos en la afirmación común de que un signo alude a algo para alguien (Morris, 1985: 27).


»De estas palabras se desprende claramente que, al igual que Peirce, mantiene la concepción triádica del signo, aunque añade un cuarto y nuevo factor: el intérprete; para Morris (1985:28) “algo es un signo si, y sólo si, algún intérprete lo considera signo de algo”. A estos cuatro elementos les atribuye una determinada función:

»Los mediadores son vehículos sígnicos, las consideraciones son interpretantes; los agentes del proceso son los intérpretes; lo que se toma en consideración son los designata... Debería quedar claro que los términos “signo”, “designatum”, “interpretante” e “intérprete” se implican mutuamente, puesto que sólo son formas de referirse a aspectos del proceso de semiosis (Morris, 1985:28).


»Para Morris los signos se podrán estudiar o bien en relación con otros signos (sintaxis), o bien en relación con los objetos a los que se refieren (semántica) o, por último, en relación con sus intérpretes (pragmática):

»Pueden estudiarse las relaciones de los signos con los objetos a los que son aplicables. Esta relación recibirá el nombre de dimensión semántica de la semiosis... Pero el objeto de estudio también puede ser la relación de los signos con los intérpretes. En este caso, la relación resultante se denominará dimensión pragmática de la semiosis... Puesto que la mayoría de los signos están claramente relacionados con otros signos, puesto que muchos casos de aparentes signos aislados resultan no ser tales una vez sometidos a análisis, y puesto que todos los signos están en relación, en potencia si no en acto, con otros signos, parece correcto establecer una tercera dimensión de la semiosis tan importante como las dos anteriormente mencionadas. Esta tercera dimensión se denominará dimensión sintáctica de la semiosis (Morris, 1985: 31-32).

»Morris es el primero en utilizar el término ‘pragmática’, definida como: “la ciencia de la relación de los signos con sus intérpretes” (Morris, 1985: 67). Si bien, llega al concepto de pragmática influenciado por Peirce, sin embargo, va más allá que su maestro al considerar los aspectos psicológicos, sociológicos y culturales que determinan que el usuario interprete el signo de una manera determinada.»





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Notes is a collective term for any type of useful information given after the citation itself.

Complete sentences are not required.

Be brief.


Según:

Citing Medicine: The NLM Style Guide for Authors, Editors, and Publishers [Internet]. 2nd edition. Chapter 3: Conference Publications


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febrero 23, 2017

«Manual de Ecoedición»




«Manual de Ecoedición». Proyecto Life+ Ecoedición. Gestión sostenible de publicaciones en la administración pública (junio de 210 a junio de 2014). Junta de Andalucía: Consejería de Medio Ambiente y Ordenación del Territorio. @ComunicacionAND





La producción avanza vertiginosamente en todos los sectores gracias a la electrónica y las telecomunicaciones, y también gracias a una nueva cultura de valores, como la ecología.

Todo momento es bueno para repasar el capítulo 3 de este manual de ecoedición, editado por la Junta de Andalucía, que se detiene en diversos aspectos de la producción, editorial en su caso. Incluyo además los títulos y enlaces a los demás capítulos.

Si deseas consultar el manual completo, te lo ofrezco aquí.

Es preciso tener en cuenta la indicación de la Junta de Andalucía en el momento de consultar este manual o alguno de sus capítulos: «se concibe como un documento abierto a sugerencias y comentarios de todos los agentes de la cadena de valor del libro, tanto públicos como privados, buscando el mayor consenso posible entre todos los sectores y partes interesadas».



ÍNDICE GENERAL


Página web del «Manual de Ecoedición».


Índice de los capítulos en pdf


00 Créditos, índice general e introducción (891 Kb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap00_indice.pdf


Capítulo 1. Presentación (1,68 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap01_presentacion.pdf


Capítulo 2. Obtención de materias primas (5,18 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap02_materias_primas.pdf


Capítulo 3. Producción editorial (8,21 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap03_produccion_editorial.pdf


Capítulo 4. La postproducción editorial (2,8 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap04_postproduccion.pdf


Capítulo 5. La sostenibilidad en el sector editorial (8,31 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap05_sostenibilidad_sector.pdf


Capítulo 6. El ciclo de vida de una publicación y su huella medioambiental (2,07 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap06_ciclo_de_vida.pdf


Capítulo 7. Iniciativas y ejemplos de buenas prácticas ambientales en el sector editorial (2,84 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap07_buenas_practicas.pdf


Capítulo 8. El sector editorial en el siglo XXI (4,05 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap08_siglo_xxi.pdf


Capítulo 9. Recomendaciones para la ecoedición (3,99 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap09_recomendaciones.pdf


Bibliografía y webs de referencia e interés (188 Kb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap10_bibliografia.pdf


Anexos: glosario de términos - normativa legal - la etiqueta de ecoedición (1,97 Mb)

http://www.juntadeandalucia.es/medioambiente/portal_web/ecoedicion/documentacion/manual_def/ecoedicion_manual_cap11_anexos.pdf








«De las exigencias genéricas a la emergencia del texto literario: el problema de los géneros»



Nicolás Camilo Forero Olaya
«De las exigencias genéricas a la emergencia del texto literario: el problema de los géneros»

Enunciación, vol. 21, n.º 2, 2016

Enunciación | Universidad Distrital Francisco José de Caldas | Bogotá | COLOMBIA


Extracto del apartado «Conclusiones», en páginas 224-225 de la publicación en PDF




«Tratar de comprender un discurso como el literario no es una tarea sencilla y lo que se ha pretendido en este documento es proponer una mirada sobre aquel y también un esbozo metodológico para una futura investigación en el terreno, con la intención de estudiar las formas concretas de la literatura sin perder de vista las formas teóricas-naturales.

»De este recorrido, extraemos las siguientes conclusiones:


»• La aplicación de las perspectivas de los ED [estudios del discurso] han servido para detallar elementos de la literatura que de otro modo no hubiéramos encontrado.

»Primero, prestar atención al texto literario en su contexto, al entorno literario y social así como a su autor, permite identificar elementos que influyen tanto en la emergencia de la obra así como su singularidad.

»Segundo, se destaca que el discurso literario, al igual que otras formas de discurso, tiene varias subdivisiones y que cada una de ellas implica unas exigencias específicas para la elaboración del texto.

»Por esta razón, creemos que la reconceptualización que hemos realizado del concepto exigencias resulta fructífera en la medida en que resalta el hecho de que las obras literarias no surgen ex nihilo y requieren una reflexión constante por parte del autor.


»• Toda aplicación teórica no puede hacerse sin transformaciones. La perspectiva de Charaudeau, que en principio parecía negarse a la aplicación, ha permitido identificar, primero, el anclaje situacional de la práctica literaria, y segundo, identificar las gradaciones genéricas que se encuentra en esta. Pero, para lograrlo, esta perspectiva tuvo que modificarse: en la exposición hemos visto el surgimiento de una situación comunicativa intermedia.

»De igual forma, la perspectiva de Carranza, de cuyo marco tomamos entextualización y exigencias genéricas, sufrió modificaciones y dio pie a los conceptos capitales de esta perspectiva: las exigencias que solo fueron en su perspectiva algunos saberes que tuviera un hablante para producir un texto, en la literatura han cobrado una doble dimensión (EI y EE [exigencias internas y exigencias externas]) para contener dentro de sí información sobre cómo hacer un texto y cómo debería hacerse.


»• La aplicación de las perspectivas de los géneros discursivos no pretende definir los géneros literarios. Al señalar el proceso mediante el cual, por una parte, el autor se apropia de la tradición y, por otra, incorpora elementos nuevos a esta, se deja entrever la principal funcionalidad de esta propuesta: estudiar las maneras en que la literatura se trasformar (sus géneros, subgéneros) de acuerdo con la acción de los mismos escritores.


»• Por último, esta propuesta reitera que la distancia entre las prácticas de lenguaje no literario y el literario no es, en sí, pronunciada como pudiera creerse. Pero, además, reafirma lo siguiente: el discurso literario puede considerarse un punto más en la agenda de los ED. Al tener elementos comunes –situación de comunicación, gradaciones y exigencias genéricas– permite un análisis como el que se haría a cualquier otro discurso: partir de categorías básicas sobre el mismo hasta llegar a un análisis más específico según el espacio social al que se inscriba cada práctica.

»Por ello, así como en el análisis del discurso educativo se tendría que partir de la lingüística de texto y demás ciencias de lenguaje hasta llegar a teorías sociológicas, psicológicas, entre otras, que expliquen la educación, así debiera estudiarse el discurso literario, partiendo de las ciencias del lenguaje hasta llegar a las diferentes teorías literarias que estudien en detalle esta práctica.»





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If a proceedings has supplemental material accompanying it in the form of a videocassette, CD-ROM, DVD, or another medium, begin by citing the proceedings. Add the phrase "Accompanied by: " followed by the number and type of the medium.

Salyer KE. Craniofacial surgery. Proceedings of the 10th International Congress of the International Society of Craniofacial Surgery; 2003; Monterey, California. Bologna (Italy): Medimond International Proceedings; c2003. 506 p. Accompanied by: 1 CD-ROM.


Según:

Citing Medicine: The NLM Style Guide for Authors, Editors, and Publishers [Internet]. 2nd edition. Chapter 3: Conference Publications


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febrero 22, 2017

«5ª Semana de Cultura Digital en la UAM Xochimilco: "Evolución de los materiales educativos digitales en el medio editorial". Ponente: Lic. Luz Cordero (Grupo Prisa)»




Laboratorio: Aula Multimedia UAM-X (@LAM_UAMX)







«El cachivache verbal. La ciudad hablada en Corrector de estilo»



Elizabeth Arias Flores
«El cachivache verbal. La ciudad hablada en Corrector de estilo»

Revista de Literatura Hispanoamericana, n.º 72, enero-junio de 2016

Revista de Literatura Hispanoamericana | Universidad del Zulia | Maracaibo | VENEZUELA


Extracto del apartado Consideraciones finales, páginas 82-83 de la publicación del texto en PDF




«Se ha caracterizado Corrector de estilo como una novela del habla porque lo lingüístico es en ella no sólo medio, sino objeto de representación en sí mismo. La ficcionalización del habla de Maracaibo logra objetivar el discurso de/sobre la ciudad. La lectura permite constatar la complejidad implicada en la representación de la oralidad en la ficción literaria, como parte de las complicadas y tensas relaciones entre el mundo ficticio y el real.

»Dado que representar artísticamente no es imitar un objeto, la oralidad ficticia, en consecuencia, no es mero reflejo de la real, a la manera de un espejo, sino un complejo artificio que incluye procedimientos de reacomodo del habla oral real para lograr determinados efectos discursivos y estéticos. Estos procedimientos, que constituyen la “narrativización” del diálogo, transforman los rasgos propios de la oralidad para adecuarlos al medio escrito y a la historia novelada y para crear una imagen artística de la lengua hablada.

»La narración literaria plantea así una relación de intertextualidad, que no de oposición, entre las formas habladas y las escritas, del mismo modo que lo hace entre los hechos reales y los ficcionados.

»Los rasgos de la oralidad fueron cotejados desde tres cualidades que resumen la textualidad oral: la cualidad sonora (materializada en la voz, entonación, etc.); la coincidencia espacio-temporal (que se refleja en lo paralingüístico, las referencias, etc.); y la inmediatez (que marca directamente la planificación del mensaje).

»Tal cotejo permite concluir que, en efecto, hay en la novela una captación lingüística que los hablantes ficcionales evidencian en aspectos fónicos, morfosintácticos y léxicos de los diversos enunciados que conforman sus discursos y que deviene en la creación de una imagen artística de esa habla local.

»Es imprescindible puntualizar que las situaciones de comunicación ficticias están subordinadas a la historia de la que forman parte, al proyecto narrativo y temático del autor, a la conformación de los personajes, a convenciones genéricas, etc. Sin embargo, esta habla ficticia, desde su propia naturaleza, puede funcionar como un modelo reconstruido de habla que pone de relieve, cuestiona y valora aspectos importantes de forma y funcionamiento del habla oral real.

»Por otra parte, la oralidad ficticia es, en tanto producto creado o artificio, un objeto de representación artística y, por tanto, una imagen estética elaborada desde ciertas valoraciones y conceptos acerca de la comunicación, de la lengua y de sus hablantes. En ese sentido, hay siempre en la obra una alusión metalingüística –explícita o no– que aporta al conocimiento de los usos del lenguaje en la sociedad.

»Finalmente, hay que reafirmar que la puesta en escena y objetivación del habla local que realiza esta novela es una estrategia de resignificación y representación cuyo producto es un texto de/sobre la ciudad y que entabla relación con otros textos para leer y cuestionar el espacio urbano en la búsqueda de respuestas a “una incógnita que la ciudad nos ofrece” (C.E: 19).»





fraccionarios



Academia Española de la Lengua
Diccionario panhispánico de dudas
«Artículos temáticos»
s.v. fraccionarios




fraccionarios



1. Los numerales fraccionarios, también llamados partitivos, expresan división de un todo en partes y sirven para designar una o varias de las fracciones iguales en que se ha dividido la unidad. Pueden ser adjetivos («la TERCERA parte de los presentes») o sustantivos («un TERCIO de los presentes»). A continuación se ofrece una tabla con sus formas:


númeronumeral fraccionario sustantivonumeral fraccionario adjetivo
1/2mitad o mediomedio, fem. media
1/3terciotercera [parte]
1/4cuartocuarta [parte]
1/5quintoquinta [parte]
1/6sextosexta [parte]
1/7séptimoséptima [parte]
1/8octavooctava [parte]
1/9novenonovena [parte]
1/10décimo o décimadécima [parte]
1/11onceavo o undécimoonceava o undécima [parte]
1/12doceavo o duodécimodoceava o duodécima [parte]
1/13treceavotreceava [parte]
1/14catorceavocatorceava [parte]
1/20veinteavo o vigésimoveinteava o vigésima [parte]
1/30treintavo o trigésimotreintava o trigésima [parte]
1/56cincuentaiseisavocincuentaiseisava [parte]
1/100centésimo o centésimacentésima [parte]
1/1000milésimo o milésimamilésima [parte]
1/10 000diezmilésimo o diezmilésimadiezmilésima [parte]
1/100 000cienmilésimo o cienmilésimacienmilésima [parte]
1/1 000 000millonésimo o millonésimamillónesima [parte]
1/2 000 000dosmillonésimo o dosmillonésimadosmillonésima [parte]



2. De los adjetivos, únicamente «medio» puede modificar directamente al sustantivo que expresa la cosa dividida, con el que debe concordar en género y número: medio libro, media tortilla, dos medias naranjas. El resto de los adjetivos fraccionarios se combinan exclusivamente con el sustantivo parte —de ahí que solo se empleen las formas femeninas— y requieren que el sustantivo que expresa la cosa dividida vaya precedido de la preposición de: dos quintas partes DE la población, la milésima parte DE un segundo.

Los adjetivos fraccionarios que corresponden a los números tres a diez, así como los correspondientes a cien, a mil y sus múltiplos, y a millón y los suyos, coinciden en sus formas con los femeninos de los ordinales: tercera, cuarta, quinta, [...] décima, centésima, milésima, diezmilésima, millonésima (→ ORDINALES). El resto se forma hoy añadiendo al numeral cardinal el sufijo -ava: treceava, catorceava, diecinueveava, veintiunava, etc. Los correspondientes a los números once y doce, así como los correspondientes a las decenas, admiten ambas formas (onceava y undécima; doceava y duodécima; veinteava y vigésima; treintava y trigésima, etc.), aunque hoy suelen preferirse las primeras:

«El volumen sanguíneo corresponde a una doceava parte del peso corporal total» (Rosales/Reyes Enfermería [Méx. 1982]);

«Unidad inglesa de medida que equivale a la duodécima parte del pie» (Ramírez Baile [Nic. 1995]);

«Equivale apenas a la treintava parte del interés civil y comercial» (Suárez Sueños I [Col. 1911-25]);

«Los votos observados eran una trigésima parte del total» (Brecha [Ur.] 10.1.97).



3. Los sustantivos fraccionarios se usan precedidos de determinante (artículo o numeral cardinal) y van normalmente seguidos de un complemento con de, que especifica la cosa dividida: «Repartió en vida la mitad DE sus bienes»; «Dos tercios DE los presentes votaron a favor».

Cada adjetivo fraccionario tiene su correspondiente sustantivo:

a) Al adjetivo medio le corresponde el sustantivo mitad: la mitad de la tortilla. El uso de medio como sustantivo fraccionario solo es normal en contextos matemáticos: «La razón de dos segmentos homólogos en una semejanza es igual a: a) Un medio de la razón de semejanza» (VV. AA. Matemáticas [Esp. 1998]).

b) El sustantivo que designa la tercera parte de una cosa es tercio, que originalmente era también adjetivo (la tercia parte): «Para la votación se exigirá igualmente la mayoría de dos tercios» (Guinea Sindicatos [Esp. 1977]).

c) En el resto de los casos, la forma de los sustantivos fraccionarios coincide con la de los adjetivos, con la salvedad de que el sustantivo es normalmente masculino y para el adjetivo solo se emplea la forma femenina: cuarto, cuarta (parte); quinto, quinta (parte); sexto, sexta (parte); veintiunavo, veintiunava (parte), etc. Solo los sustantivos fraccionarios correspondientes a diez, cien, mil y millón, y sus múltiplos, pueden ser masculinos —uso frecuente en América— o femeninos (décimo o décima, centésimo o centésima, milésimo o milésima, millónésimo o millonésima):

«Una diferencia de un décimo de milímetro podía ocasionar el recalentamiento del arma» (García Mundo [Perú 1994]);

«Ni siquiera varió una décima de pulgada la dirección de su órgano más sensible» (Panero Lugar [Esp. 1976]).

Al igual que ocurre en el caso de los adjetivos (→ 2), para los correspondientes a las decenas pueden admitirse las formas propiamente fraccionarias, que terminan en -avo, o las que coinciden con los ordinales, pero estas últimas son de raro uso hoy:

«Casi un tercio del tamaño y casi un veinteavo de la masa de la Tierra» (Altschuler Hijos [Ur. 2002]);

«El salario de los cilleros [...] solí[a] variar del décimo al vigésimo de los frutos» (DmgzOrtiz Clases [Esp. 1973]).



4. Todos los numerales fraccionarios se escriben en una sola palabra, por lo que se consideran incorrectas las grafías con separación entre sus componentes: cien milésima, diez millonésima. En la escritura de los fraccionarios formados por adición del sufijo -avo a un cardinal terminado en -a, se recomienda reducir las dos vocales iguales a una sola: cincuentavo, mejor que cincuentaavo. En los formados por adición de este mismo sufijo a cardinales terminados en -e, debe mantenerse esta letra: onceavo, doceavo, veinteavo, etc.; las formas onzavo, dozavo, veintavo, etc., son anticuadas y no se recomienda su empleo. Cuando el sufijo -avo se añade a numerales terminados en -o, se mantiene esta letra: dieciochoavo, veinticuatroavo, etc.; no obstante, en los compuestos de ocho, puede también elidirse: dieciochavo.



5. Salvo octavo y sus compuestos, que son también ordinales, los numerales formados con el sufijo -avo son exclusivamente fraccionarios; por tanto, es incorrecto su empleo con valor ordinal: el quinceavo cumpleaños, el diecinueveavo piso; lo correcto es el decimoquinto cumpleaños, el decimonoveno piso.






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Give the language of publication if not English.

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febrero 21, 2017

«¿Cómo es Financier, la nueva tipografía del Financial Times?»




Gràffica






«Kris Sowersby (Klim Type Foundry): Breathing new life into old typefaces»,
vía Design Indaba @designindaba



«Financier es la nueva tipografía diseñada por Kris Sowersby (de la fundición Klim) que, junto a Kevin Wilson y a la dirección artística de Mark Leeds, ha logrado aportar al Financial Times un carácter más elegante. La clave para que ello haya sido posible está en la terminaciones de la nueva tipografía. Resolvieron que, para encontrar una solución inesperada y efectiva, debían olvidarse de las tipografías que se emplean en los periódicos más tradicionales.

»Según cuenta Sowersby en AIGA, en su proceso de investigación previo al diseño indagaban en los alfabetos de caracteres que no tuvieran terminaciones redondeadas. Buscaban modelos en los que basarse que tuvieran proporciones correctas para textos y titulares de periódicos, con diversidad de pesos y que además tuvieran un origen británico.

»Inspirado en la obra de Eric Gill, Sowersby encontró una línea de trabajo por la cual empezar a realizar bocetos. Podría decirse que el diseño de la tipografía Financier ha bebido de la estética de fuentes como Solus, Joanna y Perpetua.

»El resultado ha sido una tipografía con una estética que ha sido la consecuencia de haber mezclado estas influencias; que cuenta además con pequeños detalles sutiles como una menor altura de la x respecto a los elementos ascendentes; y que se aleja de las típicas proporciones de las fuentes usadas en los periódicos tradicionales para acercarse a algo más elegante y refinado.

»Financier, al haber sido diseñada exclusivamente para uso editorial (más concretamente, para aplicarla en textos de periódico), no ofrece resultados óptimos en cualquier otro ámbito.


»Sobre la fundición Klim Type

»Klim Type es la fundición tipográfica fundada en 2005 por Kris Sowersby, diseñador tipográfico neozelandés. Desde el lanzamiento de su trabajo tipográfico Feijoa en 2007, Kris ha recibido numerosos premios entre los que se encuentran el ‘Certificate of Excellence’ del New York Type Directors Club por su segunda tipografía National, en 2008; ha sido nombrado miembro de la prestigiosa Alliance Graphique Internacionale en 2003 (el segundo neozelandés en hacerlo); y ha recibido el John Britten Black Pin en 2015, el mayor galardón que otorga el Design Institute de Nueva Zelanda.

»→ klim.co.nz»




«El análisis del discurso pedagógico. Abordajes y perspectivas»



Carolina Tosi
«El análisis del discurso pedagógico. Abordajes y perspectivas»

Revista latinoamericana de estudios del discurso, vol. 16, n.º 2, 2016; número monográfico: «El discurso pedagógico»

Revista latinoamericana de estudios del discurso | Asociación Latinoamericana de Estudios del Discurso (ALED) | México | MÉXICO


Extracto de páginas 6 a 8 de la publicación en PDF




«Presentamos los cinco artículos del presente número monográfico que ofrecen un acercamiento a las diferentes aristas del discurso pedagógico.

»En primer lugar, en “Perfil identitario do egresso do curso de pedagogia: metáforas e deslizamentos de sentido”, Hildete Pereira dos Anjos y Nelinho Carvalho de Souza analizan las representaciones del aprendizaje y del rol del pedagogo en el discurso de los egresados de la Licenciatura en Pedagogía (Universidad Federal de Pará, Brasil). Sobre la base del concepto de metáfora como figura del discurso, el artículo explora cómo el perfil del pedagogo se configura en la tensión entre los requisitos de una experticia técnica que no se ha encontrado en el proceso de formación y un conocimiento teórico aún desconectado de las acciones de enseñanza y aprendizaje concretos.

»En segundo lugar, Cidarley Grecco Fernandes Coelho, presenta “Redes sociais educacionais: ensino e memória no digital”. Allí, reflexiona sobre los sentidos que circulan en las redes digitales y cuestiona en qué medida las (re)configuraciones discursivas no son solamente la reiteración de lo mismo. Específicamente hace foco en el funcionamiento de la “memoria discursiva”, en ciertas plataformas digitales de enseñanza de Brasil e indaga el tópico de la “obsolescencia” de la escuela y del “revisionismo” de las prácticas docentes. Como lo evidencia este texto, el discurso pedagógico adquiere hoy en día renovada vigencia, puesto que su análisis gira también en torno a las propiedades discursivas de los recursos digitales didácticos, que han cobrado gran importancia en la educación del incipiente siglo XXI.

»En tercer lugar, el artículo “Consignas didácticas en el nivel inicial: la producción discursiva de consignas-canción”, de Antonela Dambrosio, se ocupa de abordar, en el marco de la pragmática sociocultural del análisis y del discurso instruccional, la oralidad del discurso pedagógico, centrándose en el género “consignas cantadas” o “consignas-canción”, y en los rasgos de la producción de este tipo particular de consignas didácticas en el español bonaerense. A lo largo del trabajo, la autora muestra cómo las fórmulas de tratamiento configuran e identifican un discurso singular asociado a rutinas didácticas específicas.

»En cuarto lugar, Eni Puccinelli Orlandi, a través de “Educação e sociedade: o discurso pedagógico entre o conhecimento e a informação”, explora las transformaciones a las que se enfrenta el discurso pedagógico actual en América Latina y define los conceptos de “sujeto entrenado” y “sujeto bien formado”. Los resultados a los que llega la autora son esclarecedores y constituyen un valioso aporte para que el profesional, en su trabajo con el discurso pedagógico, tenga una mayor comprensión de su praxis.

»Finalmente, el artículo de María Beatriz Taboada, “Representación de sujetos que han migrado y desplazamientos territoriales: aproximación discursiva desde el análisis de un libro de texto para la enseñanza secundaria argentina”, indaga el modo en que sujetos y procesos migratorios son construidos en un libro de texto de Ciencias Sociales editado en la Argentina y usado actualmente en los colegios. Desde los aportes teórico-metodológicos del enfoque histórico del discurso, la especialista estudia las estrategias discursivas de nominación, predicación y argumentación, entre otras, que construyen estereotipos y evidencian prejuicios en el tratamiento de ciertos aspectos relacionados con la migración.

»Por otra parte, las reseñas que se incluyen son también significativas puesto que describen dos libros que, de diferentes formas, se vinculan con el discurso pedagógico. Una reseña, de Beatriz Hall, explora un manual de corrección de estilo escrito por María Marta García Negroni —editado en 2016— que, además de ofrecer explicaciones gramaticales y normativas, brinda reflexiones y análisis metalingüísticos. Sin dudas, este manual puede ser de gran utilidad para los profesionales de la edición, los docentes y el público en general. La otra reseña, de Guilherme Adorno, comenta la investigación de Luís Fernando Bulhões Figueira publicada en 2015, quien se concentra en los vínculos entre las teorías de Althusser y Pêcheux.

»En suma y a partir de lo desarrollado hasta aquí, es posible considerar que el discurso pedagógico se encuentra en continua tensión y transformación y por eso requiere del desarrollo de nuevas técnicas de análisis así como de una sostenida reflexión en torno a los géneros, prácticas, representaciones y concepciones acerca de la enseñanza. Cimentar un espacio de ese tipo ha sido el propósito que guió la elaboración del presente número monográfico; lo acompaña el deseo de que el tema siga tratándose desde distintas perspectivas en la comunidad de la Asociación Latinoamericana de Estudios del Discurso (ALED).»





Specific Rules #2 for Series (optional) to Citing Conference Proceedings Vancouver Style: Proceedings published as part of more than one series



If a proceedings is a part of more than one series, include information on all series if desired.

Place each series in parentheses.

Separate the series by a semicolon and a space.

End series information with a period, which falls outside the closing parenthesis of the last series.

Example:

Zhu J, editor. 2004 Shanghai International Conference on Laser Medicine and Surgery; 2004 Nov 5-7; Shanghai, China. Bellingham (WA): SPIE; c2005. (Progress in biomedical optics and imaging; vol. 6, no. 35); (Proceedings of SPIE; vol. 5967).



Según:

Citing Medicine: The NLM Style Guide for Authors, Editors, and Publishers [Internet]. 2nd edition. Chapter 3: Conference Publications


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febrero 17, 2017

El País: «¿Tienes talento? ¿Necesitas apoyo? Aquí te ofrecemos una oportunidad»




El País





«La Plataforma Talento, el espacio de ideas de EL PAÍS para innovadores con proyectos digitales en el portal #talentodigital, ha recibido más de 150 propuestas de los lectores desde que se lanzase el pasado 20 de enero. La iniciativa, impulsada por Volkswagen, ofrece un escaparate en la web que estará a disposición de los emprendedores españoles hasta el 1 de septiembre para ayudarles a presentar sus propuestas y explicarlas al mundo.

»La inscripción no lleva más de cinco minutos. Solo hay que rellenar un formulario, subir imágenes como el logotipo o la herramienta con la que se concursa en acción y enlazar a un vídeo corto (en Youtube o Vimeo) que explique en qué consiste la idea que se presenta de manera sencilla y didáctica.

»La Plataforma Talento permite una difusión global de las iniciativas, que se publicarán en la web de EL PAÍS. Pero, además, las mejores van a encontrar un respaldo extra. Un jurado de expertos, por un lado, y los lectores de EL PAÍS, por otro, van a decidir qué proyectos optan a los dos premios de 15.000 euros cada uno reservados para los mejores creadores. Otras iniciativas podrán ser elegidas para contar con la tutela de las entidades especializadas en el impulso de startups que participarán en el jurado. La plataforma de #talentodigital es una oportunidad única para enseñar tu talento al mundo.



»Así funciona:


»¿Puedo participar?

»Cualquier idea digital será bienvenida. Queremos que aflore el talento anónimo.

»Puede participar cualquier persona física, mayor de 18 años. Basta con registrarse en EL PAÍS.


»¿Cuándo puedo participar?

»La Plataforma Talento estará abierta hasta el 1 de septiembre de 2017. Se podrán subir los proyectos en cualquier momento.


»¿Qué tengo qué hacer?

»Los proyectos se podrán presentar rellenando este formulario con un texto breve que lo resuma, fotografías y un vídeo de un minuto en Youtube o Vimeo donde el participante puede presentar su idea.


»Tengo varios proyectos, ¿puedo presentar todos?

»Cada usuario registrado solo puede presentar un proyecto.


»¿Qué premios en metálico hay?

»Habrá dos premios consistentes en 15.000 € cada uno. Uno será otorgado por un jurado de expertos seleccionado para tal cometido. Sus miembros serán prescriptores, analistas, periodistas, empresarios y responsables de instituciones además de representantes de empresas, aceleradoras y/o incubadoras de proyectos. El ganador del otro premio lo decidirán los lectores de EL PAÍS mediante votación digital desde el 2 de septiembre de 2017 hasta el 16 de octubre de 2017.


»¿Hay otro tipo de premios?

»Sí. Además de los dos ganadores, habrá otros proyectos que podrán ser elegidos por las empresas, aceleradoras e incubadoras que formen parte del jurado para ser impulsados dentro de sus organizaciones. Y todos gozarán de visibilidad en la web de EL PAÍS.»





«The interplay of greetings and promises. Political encounters between the Warao and the new indigenous leadership in the Orinoco Delta, Venezuela»



Juan Luis Rodríguez
«The interplay of greetings and promises. Political encounters between the Warao and the new indigenous leadership in the Orinoco Delta, Venezuela»

Pragmatics, vol. 22, n.º 1, 2012

Pragmatics | Quarterly Publication of the International Pragmatics Association (IPrA) | Universiteit Antwerpen | BELGIUM


Extracto del apartado Conclusión de la publicación en PDF. Ver las referencias en la publicación original del texto.




«In this paper I have shown that part of the rhetorical effectiveness of political speeches in the Orinoco Delta depends on their trans-semiotic nature. The Warao expect political performances to open the possibility of sustained relationships with politicians by linking political speeches with meaningful future events. This is achieved by the use of promises. By paying attention to these trans-semiotic links and their interpretation we can understand the relationship between the here and now of political speech and a broader context that goes beyond the speech event in time and space. This approach can also help us link various semiotic events with the specific ideologies that pervade them.

»The examples presented here show that in the Orinoco Delta the trans-semiotic process sets the standard for evaluating political speech. Those speeches in which politicians make no promises do not circulate in the same way as political speeches from legitimate authorities who make promises. The absence of promises creates a trans-semiotic gap between the speech and any future meaningful interaction. This is the case illustrated by the examples of Salazar and Hernández during the Tucupita meeting in January 2008. In contrast, Minister Nicia Maldonado makes promises in a way that fulfills her audience’s expectations, making them look forward to future events in which their relationship will continue through the distribution of political gifts. This is not to say that promises made by high-ranking politicians are believed and produce automatic support. Promises are only signs of a possible durable connection with high-ranking politicians. They have to be followed by the distribution of political gifts in order to close the trans-semiotic gap.

»These three examples also show that the display of fluency in Warao as an emblem of identity is insufficient to make political speeches that create a durable link with the public. As the first example in this paper shows, even a greeting in a completely unknown language (Ye’kuana in this case) is welcome if the politicians make a transition to meaningful promises in their speech. In contrast, Salazar and Hernández, two Warao- speaking politicians, failed to make this transition and therefore failed to link their speeches with any future involvement with their audiences. They could frame their discourse within familiar Warao genres of speech (e.g. monikata isia dibubukitane) but their performances offered no hope of future engagement with the Warao leaders present in Tucupita. These examples demonstrate that the Warao’s involvement with new indigenous leaders is mediated by the ideological demand of continuous engagement. This semiotic ideology pervades the interpretation of performances and semiotic events in the politics of the Orinoco Delta.»





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As an option, the name of the overall series editor may be included with the series information.

Begin with the name of the series editor or editors:

_ Give surname first

_ Convert given (first) names and middle names to initials, for a maximum of two initials after each surname

_ Separate multiple names with a comma

_ End name information with a comma

_ See the information under Editor for more name rules


Place the word editor or editors after the name information, followed by a period.

Enter the name of the series, capitalizing only the first word and proper nouns.

Follow the name with any numbers given, such as vol. 3 for a volume or no. 12 for an issue number.

Separate the name and the numeration by a semicolon and a space.

Place series information in parentheses.

End series information with a period placed outside the closing parenthesis. Example:

(Shaner JC, editor. Medicinal plant symposium series; no. 315).



Según:

Citing Medicine: The NLM Style Guide for Authors, Editors, and Publishers [Internet]. 2nd edition. Chapter 3: Conference Publications


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febrero 16, 2017

«Perú impulsa la implementación de la TV digital»




TV y Video @TVyVideo




«Con el fin de garantizar una adecuada transición de la televisión analógica a la digital y continuar con lo establecido en el Plan Maestro para la implementación de la Televisión Digital Terrestre (TDT) en el país, el Ministerio de Transporte y Comunicaciones, MTC, publicó la normativa que determina las “medidas para informar oportunamente a los consumidores sobre la falta de capacidad de los equipos receptores de radiodifusión de recibir señales de radiodifusión bajo el estándar ISDB-T”.

»Esta iniciativa forma parte de la campaña informativa que emprende el Ejecutivo para la implementación de la Televisión Digital Terrestre (TDT) en el Perú, y es de aplicación para los comercializadores de televisores y consumidores.

»Así, la Resolución Ministerial 048-2017-MTC/01.03 publicada hoy en el diario oficial El Peruano –que entra en vigencia en 90 días– establece que los vendedores de televisores están obligados a alertar a los consumidores sobre aquellos equipos que no son compatibles con la señal de TDT del estándar ISDB-T.

»Ello se realizará a través del uso de una etiqueta, que precisará que desde el año 2020 en Lima y Callao –y de forma progresiva en otras localidades según los plazos establecidos por ley– los televisores que no cuenten con el estándar ISDB-T incorporado no podrán captar ninguna señal de televisión digital abierta. En consecuencia, la medida busca informar a los consumidores que los televisores analógicos requerirán de un decodificador o sintonizador digital para captar las señales de televisión digital terrestre, la cual es libre y gratuita.

»“Con la proximidad del apagón analógico, programado para el cuarto trimestre del 2020 en Lima y Callao, y el ingreso a una nueva era digital para los peruanos, el MTC toma las primeras medidas para el inicio de las transmisiones digitales”, destacó el viceministro de Comunicaciones, ingeniero Carlos Valdez Velásquez López.

»El MTC continuará durante el 2017 con iniciativas para la implementación de la nueva televisión digital de acuerdo a lo establecido en el plan maestro.


»Antecedentes

»En el año 2009, el Perú adoptó el sistema japonés de radiodifusión digital terrestre Integrated Services Digital Broadcasting Terrestrial (ISDB-T), con mejoras tecnológicas como sistema de Televisión Digital Terrestre (TDT).

»En el 2010, mediante DS N° 017-2010-MTC, se estableció el Plan Maestro con las medidas para la transición de televisión analógica a digital, previendo su implementación progresiva en cuatro (4) territorios.

»01: Lima y Callao (IV Trimestre 2020)

»02: Arequipa, Cusco, Trujillo, Chiclayo, Piura y Huancayo (IV Trimestre 2022)

»03: Ayacucho, Chimbote, Ica, Iquitos, Juliaca, Pucallpa, Puno y Tacna (IV Trimestre 2024)

»04: Localidades no incluidas en los Territorios 01, 02 y 03 (Indefinido)

»El 30 de marzo de 2010 se dio inicio oficialmente a la implementación de la TDT en Perú, mediante la transmisión de señales disponibles para Lima y Callao con TV Perú que actualmente cuentan con una cobertura digital más amplia y un día después ATV. Posteriormente, se suman al proceso Red Global, Frecuencia Latina, América TV, canal del Congreso, el resto de canales del Grupo ATV, Panamericana TV, Willax, RBC, Bethel Musicales; entre otros.

»A la fecha han iniciado transmisiones con señal digital terrestre, 30 estaciones en 9 localidades.»





«Yincana y charlas sobre dialéctica y retórica para acercar a estudiantes a la Filosofía»



Francisco Gutiérrez @pacogutiSUR:
SUR @DiarioSUR




«El IES Al-Baytar de Benalmádena [@iesAlBaytar] está desarrollando entre semana y la próxima unas jornadas con el objetivo de acercar la Filosofía al alumnado del centro. Comenzaron las jornadas este jueves, con unas charlas a cargo de un grupo de estudiantes universitarios, y continúan la próxima semana con una proyección de vídeos en los que los estudiantes han visitado distintas asociaciones de la localidad.

»Uno de los participantes en la jornada ha sido el Grupo Kairós [@kairosdebate] de la Universidad de Málaga, jóvenes especialistas en formación de oratoria y desarrollo de debates, dialéctica y retórica. Este grupo acumula en su trayectoria varios premios a nivel nacional en esta disciplina. Su objetivo era mostrarles a los alumnos y alumnas de primero de Bachillerato diferentes técnicas y estrategias dirigidas a mejorar la expresión oral y comunicativa. La sesión estuvo estructurada en tres líneas fundamentales: una parte teórica, la segunda un debate exhibición por parte de los formadores Jesús Baena, presidente y fundador del grupo, Antonio Morales y Luis Cuevas. Y la tercera parte estuvo enfocada a la puesta en práctica por parte de los alumnos y alumnas de las diferentes destrezas que los ponentes expusieron durante el desarrollo de la sesión.

»Después se desarrolló, en el Parque de la Paloma de Benalmádena, una ‘yincana filosófica’, en la que los estudiantes, divididos en grupos de cuatro, debían completar diferentes actividades a través de códigos QR repartidos por todo el recinto del parque. Los estudiantes tenían que ir completando un cuadernillo que se elaboró en el departamento de Filosofía del centro en el que se incluía un mapa con las diferentes ubicaciones de dichos códigos.

»Estas jornadas filosóficas continuarán el próximo jueves día 9 en la Casa de la Cultura del Ayuntamiento de Benalmádena. ‘Ponle cara a los problemas’ es el título de una actividad en la que los alumnos y alumnas visitaban diferentes asociaciones con la finalidad de conocer su labor, los medios con los que cuentan para desarrollarla y llegado el caso poder entrevistar de primera mano a personas con alguna problemática social o situación de exclusión. En el desarrollo de esta actividad han colaborado los profesores de Filosofía del centro, Miguel Heras Rodríguez y Ezequiel Millán Narváez.»





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Begin with the name of the series.

Capitalize only the first word and proper nouns.

Follow the name with any numbers provided. For example, vol. 3 for a volume or no. 12 for an issue number.

Separate the title and the number by a semicolon and a space.

Place series information in parentheses.

End series information with a period placed outside the closing parenthesis.


Según:

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febrero 15, 2017

«The Met Makes Its Images of Public-Domain Artworks Freely Available through New Open Access Policy»




The Metropolitan Museum of Art @metmuseum




«Thomas P. Campbell, Director and CEO of The Metropolitan Museum of Art, announced today its adoption of a new policy: all images of public-domain artworks in the Museum's collection are now available for free and unrestricted use. This updated policy, known as Open Access, utilizes the Creative Commons Zero (CC0) designation. This policy change is an update to The Museum’s 2014 Open Access for Scholarly Content (OASC) initiative. The Met’s Open Access policy facilitates the use of more than 375,000 images of public-domain artworks for both scholarly and commercial purposes. The Museum is collaborating with global partners to enable greater access to the collection.

»In making the announcement, Mr. Campbell said: "We have been working toward the goal of sharing our images with the public for a number of years. Our comprehensive and diverse museum collection spans 5,000 years of world culture and our core mission is to be open and accessible for all who wish to study and enjoy the works of art in our care. Increasing access to the Museum’s collection and scholarship serves the interests and needs of our 21st-century audiences by offering new resources for creativity, knowledge, and ideas. We thank Creative Commons, an international leader in open access and copyright, for being a partner in this effort.”

»“Sharing is fundamental to how we promote discovery, innovation, and collaboration in the digital age,” said Ryan Merkley, CEO, Creative Commons. “Today, The Met has given the world a profound gift in service of its mission: the largest encyclopedic art museum in North America has eliminated the barriers that would otherwise prohibit access to its content, and invited the world to use, remix, and share their public-domain collections widely and without restriction. This is an enormous gift to the world, and it is an act of significant leadership on the part of the institution. I want to congratulate Thomas P. Campbell, the board of trustees, and The Met staff for making such a strong commitment to collaboration and sharing, and I hope that other institutions, both public and private, will follow the path they are setting out here today."

»To maximize the reach of The Met’s Open Access initiative, the Museum announced its new partnerships with Creative Commons, Wikimedia, Artstor, Digital Public Library of America (DPLA), Art Resource, and Pinterest. The Museum also welcomes its first Wikimedian-in-Residence, Richard Knipel, who will collaborate with Wikimedians around the world to bring images of public-domain artworks into Wikimedia Commons, Wikipedia, and diverse GLAM-Wiki initiatives. Creative Commons will support search and re-use of The Met collection with its CCSearch beta at https://ccsearch.creativecommons.org/themet. The Met has also created a public GitHub repository.

»“The Met has again proven itself a leader among the world’s great cultural institutions. By opening their vast collection of art and antiquities to be freely available under Creative Commons Zero, they are lighting the way for other institutions to follow,” said Katherine Maher, Executive Director of the Wikimedia Foundation. “Wikipedia's hundreds of millions of users from around the globe will now be able to experience The Met's greatest treasures, no matter where they live. This remarkable cultural heritage is now free for anyone to view, share, and use."

»Loic Tallon, The Met’s Chief Digital Officer, said: “In our digital age, the Museum’s audience is not only the 6.7 million people who visited The Met’s three locations in New York City this past year, but also the three-billion-plus internet-connected individuals around the world. Adopting the CC0 designation for our images and data is one of the most effective ways the Museum can help audiences gain access to the collection and further its use by educators and students, artists and designers, professionals and hobbyists, as well as creators of all kinds. I am particularly delighted to be launching the Museum’s CC0 policy in collaboration with Creative Commons, Artstor, DPLA, Pinterest and the Wikipedia community, and for their support in bringing the Museum’s collection to their users.”

»The Met’s new agreement with Artstor, a service affiliated with the education not-for-profit ITHAKA, will make the images discoverable throughout its digital resources, which support a global education community and provide tools to encourage image and data use in research and teaching.

»“We are thrilled to help further the impact of The Met’s bold public digital access initiative through our work in the global educational community,” said Kevin Guthrie, President of Artstor and ITHAKA. “We look forward to making these 375,000 images available so that teachers, students, and researchers around the world can find them, use them, and most importantly re-use them. The CC0 license for these images is a sea change that will help educators and students advance our collective understanding of art and human values by encouraging their use, not only in traditional classrooms and scholarly publications, but also in new digital projects and online courses.” Guthrie added, “Access is just the beginning. We look forward to continuously finding ways to work with those engaged in education to enhance and encourage the reach of this collection.”

»The public can also find images offered from this initiative on Pinterest, thus making the collection more easily accessible to their community.

»Evan Sharp, co-founder and Head of Product at Pinterest, said: “Pinterest is where more than 150 million people discover ideas for their lives, whether they collect images of artistic masterpieces or the art of the everyday. We’re honored to partner with The Met to make this unprecedented collection accessible to the Pinterest community.”

»The rollout of this change in policy is an ongoing process, as the Museum continues to collaborate with new and existing partners to develop our content-distribution efforts and explore new opportunities.

»While all images of works the Museum believes to be in the public domain are included in this initiative, certain works are not available for one or more of the following reasons: the work is still under copyright, or the copyright status is unclear; privacy or publicity issues; the work is owned by a person or an institution other than The Met; restrictions by the artist, donor, or lender; or lack of a digital image of suitable quality.

»The Museum continues to work with Art Resource for licensing images of works under copyright or other restrictions, or for images not available on The Met’s website.

»The Met’s Open Access initiative is made possible through the continued generous support of Bloomberg Philanthropies.

»“The Metropolitan Museum of Art’s new initiative brings its collection to an even larger audience. One of the first museums to offer audio guides, invest in mobile apps, and develop a robust website, The Met continues to be a leader in providing access to its encyclopedic resources for millions of people all over the world,” said Kate D. Levin of Bloomberg Philanthropies.

»Related blog posts about The Met’s new image policy can be found on Now at The Met and Digital Underground, as well as on the websites of our partners Creative Commons, Wikimedia Foundation, and Artstor.

»Additional information and instructions can also be found at metmuseum.org/openaccess.

»#MetOpenAccess»





Alejandro Higashi: «Gramática y liderazgo»



Alejandro Higashi es profesor investigador de tiempo completo de la Universidad Autónoma Metropolitana - Iztapalapa. Doctor por El Colegio de México y Licenciado por la Universidad Veracruzana.

Letras Libres @Letras_Libres




«Lo sé. Cuando se trata de gramática, lo primero que nos viene a la cabeza son reglas... muchas y muy confusas. Y las reglas no nos gustan. Cruzamos la calle sin mirar dónde está el paso de cebra y a las fiestas siempre llegamos con retraso. Pese a todo, las reglas gramaticales forman parte de nuestras vidas. Decimos “el agua fría” y no “la agua fría” porque sabemos que los sustantivos comunes femeninos que empiezan con a- requieren un artículo masculino. También decimos “el asta roja”, “el águila majestuosa” o “el alma inmortal”. Nunca, por supuesto, diríamos “el angustia” o “el albóndiga”, porque sabemos que nuestra regla solo funciona con los sustantivos femeninos que inician con a- tónica (água, águila, álma).

»¿Cuándo aprendimos que la conjugación del verbo andar es irregular y que se conjuga “yo anduve” y no “yo anduve”? Asimilamos estas y otras reglas gramaticales espontáneamente, cuando adquirimos nuestras primeras habilidades verbales. El día que alguien nos saludó y dijo “hola”, aprendimos a repetir hola y a agitar la mano en un contexto de saludo, pero al mismo tiempo supimos que no era un verbo porque no podía conjugarse (“yo holo, tú holas, él hola, nosotros holamos”... pero “yo saludo, tú saludas, él saluda”...) y que no era un sustantivo porque no tenía ni género ni número (hola / holo / holas / holos) como otro sustantivo homófono, pero de sentido muy distinto: las olas del mar.

»¿Espontáneamente? Consideremos la siguiente analogía. Digamos que aprendimos a comer como aprendimos a hablar: por imitación. Para comer hemos tenido que aprender a abrir la boca, a masticar y a deglutir; para hablar, a abrir la boca y articular con ayuda de nuestro aparato fonador. Luego, ha sido cuestión de meternos a la boca lo que nos han puesto delante y de repetir las frases que hemos escuchado según la situación comunicativa en la que estemos. A partir de aquí, las cosas se complicaron: tuvimos que aprender a clasificar los cubiertos por su función (cuchara, cuchillo, tenedor) y tamaño (cuchara sopera y cuchara cafetera) para manipularlos de la forma correcta y usarlos con el alimento correcto (el tenedor no sirve para la sopa). Tuvimos que analizar los datos (herramientas dispuestas alrededor del plato), identificar patrones abstractos (la cuchara recoge líquidos y las sopas por lo general tienen una consistencia líquida) e inferir reglas a partir de las regularidades percibidas (la sopa se come con la cuchara). En una escala mayor, tuvimos que decidir dónde comer en función de nuestras necesidades sociales (en casa con amistades, en el restaurante para las citas de trabajo, en el restaurante de atmósfera sofisticada para las citas románticas), lo que implicó un pelín de cultura general que orientara nuestras decisiones (¿cuál es más formal?; ¿la comida italiana o la argentina?, ¿los tacos o el sushi?). Aprendimos el lenguaje especializado de la cocina (taco karaage, fetuccini, vacío, suadero, etcétera.) y sus reglas básicas (las carnes saben mejor al carbón y las pastas se sirven al dente). Armados de conceptos y reglas, muchos de nosotros aprendimos incluso a cocinar. En resumen, la evolución de comer no fue comer más; fue aprender más conceptos y más reglas para cocinar nuestros alimentos.

»¿Y la gramática? Simplemente la olvidamos y rara vez hemos pasado, en consecuencia, del plano elemental de la imitación. Se diversificaron los modelos y eso supuso cierta fortuna lingüística amasada con frases de la televisión, el cine, la escuela, las amistades; pero no pasamos de imitar lo que escuchamos con pequeñas variaciones. Solemos vivir en el analfabetismo gramatical. Si el cuchillo y el tenedor cortan la carne, la puntuación nos ayuda a dividir y organizar nuestras ideas. Si las hierbas de olor le dan un toque personal a las recetas de todos los días, los adjetivos nos ayudan a matizar la realidad objetiva para imprimirle nuestro punto de vista. La vajilla nos salva de mezclar gustos; las reglas gramaticales evitan un mensaje confuso. Hablamos con corrección y quizá hablamos mucho, pero sin conocer y aprovechar las herramientas gramaticales que nos permitirían experimentar con esas partes para comunicar nuestras ideas con mayor claridad y eficiencia.

»¿Para qué sirve la gramática? Para absolutamente todo. No exagero. Digamos que estamos con un niño pequeño, echa a correr y le gritamos lo primero que nos viene a la cabeza: “Si corres te vas a caer”. Se trata de una construcción condicional con su prótasis (“si corres”) y su apódosis (“te vas a caer”) en regla. La prótasis expresa un requisito que, de darse, conduce a un resultado inminente... y como el niño ya corre, lo que afirmamos es que fracasará sin remedio. Nuestra oración es un boicot lingüístico que lo condena a caer. Minamos su joven autoestima sin darnos cuenta. La siguiente vez, lo pensamos un poco más y gritamos: “No corras porque te caerás”. Ahora usamos una construcción bimembre ilativa, donde al primer segmento sigue su consecuencia directa. Nuestro enunciado empeoró: inicia con una orden (“no corras”) en presente de subjuntivo, por lo que la primera acción (correr) resulta más bien conjetural, pero su consecuencia es real porque está en futuro de indicativo: “te caerás”. Así de absurda es esta oración: pasa de un hipotético “no corras” (aunque el niño ya está corriendo) a una afirmación rotunda (“te caerás”). Esta frase nos convierte en adultos autoritarios, capaces de augurar las peores consecuencias al pobre niño que intente correr.

»En la siguiente oportunidad, analizamos el enunciado para advertir que nos hemos centrado en la tercera persona del singular (es decir, en el niño) y olvidamos la opinión personal. Si volvemos sobre nuestros pasos, tendremos que usar la primera persona del singular (yo): “Te pido que no corras porque me da miedo que te caigas”. Quizá menos económica, pero mucho más precisa. Queda claro que se trata de un juicio ejercido sobre probabilidades: tanto el corras como el caigas son conjeturales (en modo subjuntivo) y el “te pido” y “me da miedo” son afirmaciones en primera persona del modo indicativo que explicitan una perspectiva eminentemente personal. La situación comunicativa (“el niño que corre”) y nuestra intención (“que deje de correr”) no cambiaron, pero el enunciado se volvió más preciso y efectivo gracia a una mayor conciencia lingüística. Nunca quisimos decir que “la consecuencia directa de correr era caerse”. ¿Quién sería tan tonto para afirmar eso? Caerse no deja de ser una eventualidad. Cualquier niño pequeño podría contraargumentar fácilmente: “entonces, cuando juegue al futbol con mis amigos, ¿mejor no corro?”.

»Si esto puede hacer la gramática en una situación tan simple como la descrita, figúrense en una posición de liderazgo. ¿Qué haría la gramática por el dirigente de un grupo? Imagínense un líder que en vez de ordenar refuerce conductas positivas a través de charlas claras y bien construidas; que motive a su grupo con la exposición amena y ordenada de las consecuencias directas de estas conductas en vez de simplemente ser vocero de premios y castigos. Que oriente a través de la exposición de propósitos comunes explicados con lucidez y franqueza. Que dentro de su esfera de influencia construya coaliciones de beneficio mutuo a través de narrativas sencillas y sinceras, con las que sus seguidores puedan sentirse identificados. No se trata de engañar, sino de aclarar. Todo esto se facilitaría con un dominio consciente del uso del lenguaje. Una frase construida conforme a la gramática es precisa, estética, honesta, respetuosa del entorno social y hace que nuestra idea original sea más efectiva. ¿Quién no quiere eso? Si estudiáramos más el lenguaje (sus nombres, sus patrones, sus excepciones), como hemos hecho con la comida, no debería ser una meta a largo plazo... pero no nos gustan las reglas.»